Les contre-révolutionnaires syndicaux et politiques du spectacle capitaliste veulent nous faire marcher

Faisons les courir en détruisant de fond en comble la dictature démocratique de l’argent totalitaire !

La crise des retraites c’est la crise du Capital !

La déliquescence de la protection sociale de notre esclavage, c’est la déliquescence de l’esclavage de notre protection sociale !

Les flics syndicaux et politiques de la marchandise progressiste voudraient nous voir crever agréablement dans un capitalisme bien tempéré, socialo-débiliste, écolo-bobo, humano-bio-équilibré, féministo-immigré, homo-consommateur… dans la bonne harmonie servile de la prison salariale, de ses retraites mieux réparties et de la sur-vie indéfiniment reproduite dans le camp de concentration de la misère marchande joyeusement omni-présente.

On s’en fout !

On veut pas crever mieux, on veut vivre vraiment !

Cette grève « pompes funèbres misérables » destinée à faire converger toutes nos colères dans le cul-de-sac réformiste des complicités magouillantes de l’État et de ses larbins syndicaux n’a pour objet que de dissoudre notre radicalité dans les circuits de la vacuité négociatrice où les technocrates subventionnés iront nous vendre pour un salariat de merde amélioré et une retraite de mort mieux décorée.

L’émancipation du prolétariat sera l’oeuvre des prolétaires eux-mêmes contre tous les services d’ordre politiques et syndicaux de l’ordre républicain de la pourriture marchande…

La lutte ne fait que commencer…

Le père Noël de la défense du progrès social capitaliste est toujours une ordure…

En avant …vers la grève sauvage généralisée contre tous les bonzes politiques, syndicaux et médiatiques de la merde capitaliste et pour l’abolition du salariat et de l’État !

VIVE LA COMMUNE !