Au lieu du mot d’ordre conservateur : “Un salaire équitable pour une journée de travail équitable”, les prolétaires doivent inscrire sur leur drapeau le mot d’ordre révolutionnaire : “Abolition du salariat “.

Karl Marx, Salaire, prix et profit

La dictature démocratique du spectacle de la valeur n’a plus aucun avenir puisque la crise finale du taux de profit l’a tuée. Derrière l’insupportable comédie des retraites se profilent en concentré toutes les intolérables impostures de la société moderne tel que le mensonge étatique mondial du COVID en a pleinement révélé la mort… Le seul futur qui désormais existe et qui doit être précisé est le projet révolutionnaire de l’abolition de la marchandise, du salariat et de l’État. Le gauchisme de la marchandise – comme avant-garde des farces écologistes, immigrationnistes et LGBTistes de la classe capitaliste mondiale – est tout ce que peut être le pôle extrême du parti de l’ordre dans un moment qui devient révolutionnaire.

La guerre sociale est en train de partout se répandre. Et la mystification de la marchandise totalitaire ne peut faire face à l’agitation sociale que si elle parvient à la freiner, la saboter et la distraire pour la mener le plus loin possible de la critique radicale du salariat.

Les polices syndicales gouvernementales subventionnées enferment ainsi la lutte dans la lamentable revendication de l’esclavage éternellement mieux reproduit… La gauche du Capital moribonde s’épuise, elle, à vouloir étouffer la colère dans le cimetière de la gesticulation des modernisations institutionnelles de la servitude. Puis, en fin de cortège de pitoyable rénovation capitaliste, les black bobos du ministère de l’intérieur applaudis par leurs alliés analphabètes trotsko-libertaires en fin de décomposition infiltrée, vont bruler les poubelles et caillasser minablement le flic de base pour mieux nous interdire d’aller détruire l’usine globale de la marchandise autocratique.

C’est contre toute cette merde de l’économie politique des mafias capitalistes du réformisme extrême que le prolétariat universel doit désormais imposer l’auto-organisation révolutionnaire de sa vérité en supprimant le marché de la fausse existence et donc à l’opposé de tous les crétinismes zadistes contrôlés qui voudraient – en simple miroir inversé des rackets bancaires du capitalisme sénile et drogué – nous obliger à passivement autogérer les misérables échanges de la circulation aliénée…

L’histoire de la crise terminale de la quantité marchande despotique est en train de se partout propager… Que le spectacle de la pourriture-argent crève donc au plus vite en emportant dans sa chute finale tous les gangs gouvernementalistes de la putréfaction mercantile !

Vive la Guerre de Classe mondiale du Prolétariat universel contre tous les Partis et Syndicats de la planète-marchandise et pour un monde sans exploitation ni aliénation !

VERS LA COMMUNE UNIVERSELLE POUR UN MONDE SANS ARGENT, SANS SALARIAT, NI ÉTAT !