Le lumpenprolétariat, ce produit passif de la pourriture des couches inférieures de la vieille société, peut se trouver, çà et là, entraîné dans le mouvement par une révolution prolétarienne ; cependant, ses conditions de vie le disposeront plutôt à se vendre à la réaction.
Manifeste communiste
Le lumpenproletariat, cette lie d´individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes est, de tous les alliés possibles, le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Quand les ouvriers français écrivaient sur les maisons, à chaque révolution, l´inscription : “Mort aux voleurs !” et qu’ils en fusillaient même plus d´un, ce n´était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien parce qu´ils savaient très justement qu´il fallait avant tout se débarrasser de cette bande. Tout chef ouvrier qui emploie ces vagabonds comme gardes du corps, ou qui s´appuie sur eux, prouve déjà par là qu´il n´est qu´un traître au mouvement.
Engels, La Guerre des paysans en Allemagne
De peur d’être accusé de racisme, il est donc interdit de soulever la question de l’immigration et des ghettos urbains autrement que dans les termes autorisés par le spectacle de l’indistinction et selon les intérêts généraux du temps de la marchandise.
Hier, la dictature démocratique du marché criminalisait le mouvement critique des grèves dures, aujourd’hui, la démocratie du marché dictatorial criminalise toute critique de l’immigration puisque c’est là le moyen le plus pertinent qu’elle a trouvé afin d’évacuer justement la problématique de la dureté critique des grèves mouvementées.
CRITIQUE DE LA SOCIÉTÉ DE L’INDISTINCTION
L’immigrationnisme est une des religions majeures de la crise de la domination réelle supérieure et les partis, sectes, factions et coteries de gauche, d’extrême gauche et d’ultra-gauche en moisissure ne peuvent plus exercer leur fonction sans exprimer finalement ce qu’ils sont : les risibles fantoches et pantins économiques, sociaux et culturels du MEDEF et du CAC 40 dont la seule épouvante est le recommencement de la Commune radicale et de la grève sauvage coriace.
VOYAGE AU BOUT DE LA FIN DU CAPITAL
Cela fait 40 ans que la politique de la ville déverse des milliards dans les quartiers du privilège immigré programmé par les logiques patronales qui – depuis la grande hantise de la grève sauvage de 1968 – ont massivement investi dans une substitution de population pour que l’histoire révolutionnaire de la Commune de Paris se perde dans un magma exotique où le marché des mille transactions souterraines est devenu le meilleur allié de l’économie officielle centrale qui voudrait immortaliser la répétition sans fin de l’argent omni-présent. Non ! ces faunes tribalisées analphabétisées par l’histoire débordante du faux colonial et dé-colonial ne sont pas les laissés pour compte du progrès de la marchandise mais – bien au contraire – les privilégiés exceptionnels de la politique sociale, culturelle et médiatique de tous les mensonges ahurissants de la contre-révolution du Capital…
Tout est radicalement fallacieux dans le spectacle des banlieues du trafic et des émeutes de la rapine, exactement comme pour toute interrogation ostensiblement autorisée dans la société actuelle du fétichisme de la marchandise totale ; et ceci pour les mêmes raisons : l’économie de la chosification – c’est-à-dire la tromperie de la tyrannie démocratique de la valeur d’échange – l’a suscité, et la comédie du gauchisme de la marchandise l’a consacré.
La propriété c’est le vol et le vol frénétique c’est la propriété forcenée… La haine voyoucratique contre les flics de l’économie officielle ne touche évidemment pas les flics de l’économie souterraine, eux, discriminés positivement par toutes les gendarmeries du gauchisme de la marchandise.
En revanche, la critique radicale sait, elle, parfaitement que le saccagisme banlieusard des rentiers du carambouillage est le contraire de la colère prolétarienne consciente puisqu’il est profondément réactionnaire et fétichiste. Il n’est pas anti-capitaliste mais sur-capitaliste car hystériquement appropriatif… C’est le parti de l’ordre de tous les rançonnements et négoces de l’individualisme pathologique de la réification la plus exagérée…
Les saccages de la banlieue prédatrice étendue qui adule l’idole monétaire ont pour fonction première d’empêcher la lutte de classe révolutionnaire contre la tyrannie du salariat…
On ne bavarde que de fadaises et de balivernes. Qu’est-ce qu’un fils d’immigré qui entend de plus en plus demeurer culturellement de là–bas et non d’ici ? Historiquement, l’immigré n’est pas un habitant irrémédiablement condamné à ressasser son origine étrangère, mais désormais, c’est celui qui pourtant s’appréhende comme fondamentalement dissemblable et qui entend se conserver ainsi puisque le Capital l’a programmé comme tel. Comme le spectacle de la marchandise entend immobiliser l’histoire dans le diktat de sa propre répétition illimitée, il n’a cessé de vouloir s’alimenter aux flux exponentiels de populations justement issues de temporalités figées dont la chronologie orientale strictement réitérative a toujours ignoré le maximalisme anti-argent et anti-État du communisme révolutionnaire tel que parachevé dans la I° Internationale ouvrière. Depuis le siècle dernier, un grand nombre d’immigrés et leurs enfants sont venus vivre sur la terre française des constantes insurrections paysannes et ouvrières ; beaucoup d’Italiens, de Polonais ou d’Espagnols se sont ainsi finalement fondus dans la masse d’une population française qui était autre mais qui en même temps était très identique en relation avec une même histoire d’insubordination historique, de saveur érotique, culinaire et esthétique – qui avait mené à ce goût puissant de la frondeuse culture d’Europe lequel inspira cette langue si fertile des parcours du Grand Siècle conduisant à La Boétie, La Fontaine, Molière, Babeuf et à toute la littérature du XIX° siècle en passant bien sûr par le Manifeste communiste. En revanche, les nouveaux immigrés d’aujourd’hui – salariés disciplinés ou trafiqueurs multifonctions – sont d’abord les excellents produits préférés de la pure gestion intensive de la crise historique du capitalisme moderne qui entend à tout prix stopper le possible retour à l’insubordination révolutionnaire qui fit jaillir les Communes de Berlin, Kronstadt, Barcelone et Budapest. C’est pourquoi le temps-marchandise totalitaire entend bien que ces hommes aux mœurs verrouillées du temps oriental irréversible, demeurent interminablement attachés et pétrifiés en leur provenance rétrograde, de telle sorte qu’ils n’accèdent jamais à la sensualité révolutionnaire et qu’ils restent pour toujours de bons consommateurs assidus de passivité mercantile, soumis au calendrier immuable du monothéisme de l’argent sans cesse revitalisé par l’armée de réserve immigrée incessante avec ses enclaves adjacentes narcotrafiquantes puissamment favorisées.
La crise finale de la domination marchande a lieu en ce moment précis où la baisse du taux de profit, à son niveau de plus en plus explosif, veut faire de nous tous des ahuris américains complets correspondant absolument aux impératifs de la guerre commerciale impérialiste menée par le Pentagone contre tous les restes de souveraineté technologique, stratégique et politique française et européenne. Il est donc logique que nous constations dès lors que toute la merde idéologique des USA, de la drogue à la Mafia, du fast-food morbide à la prolifération crétiniste de tous les hébétements ethniques, idéologiques, musicaux et linguistiques soit là toujours davantage prégnante.
Quel est donc là le projet du cosmopolitisme de la marchandise ? Il trouve bien sûr toute sa réalité dans le chaos de l’indistinction généralisée qui doit archipéliser à l’infini l’espace-temps social des perceptions et des émotions de telle sorte que l’homogénéisation révolutionnaire vers l’abolition du salariat ne puisse point re-surgir. II est évident ici que la croissance des ghettos vétérotestamentaires de l’obscurantisme coranique sur fond de transactions hallucinogènes bouillonnantes révèle que la société de la valeur d’échange qui se décompose entièrement, doit pour se protéger de la révolution sociale prolétarienne, recourir massivement à l’ignorantisme et au vandalisme pour faire grande diversion.
Le capitalisme à son stade spectacliste de décadence supérieure recompose tout en fausses interrogations divagantes et la présence croissante des immigrés qui lui sert en premier lieu à se soustraire au danger du recommencement des grèves ouvrières extrémistes qu’il ne pourrait contrôler, assure la reproduction de son pouvoir de production en favorisant le développement en grandeur réelle d’expériences aliénatoires d’affrontements dérivatifs qu’il met spectaculairement en scène au travers des multiples circuits nantis de la discrimination positive où la population est enfermée dans le débile dressage à la marchandisation perpétuelle.
Combien y a-t-il d’étrangers ou de Français d’origine immigrée en France qui ignorent tout de la Commune de Paris et de la grève sauvage de mai-juin 68 ? Il est évident qu’il y en a tellement qu’il faudrait concomitamment se demander : combien reste-t-il de Français anciens susceptibles de savoir et de comprendre ce que les premiers ignorent et sont d’ailleurs dans l’incapacité d’appréhender alors même que le flux démographique remplaciste prévu par Marx dans la Septième section du Livre premier du Capital a justement pour objet d’engloutir la vieille histoire subversive de l’être de jadis dans la publicité excitée de tous les commerces de l’avoir.
Qu’est-ce qui pourrait bien caractériser maintenant un prolétaire de France qui tendrait – malgré tout – vers le désir du communisme ? Combien restera-t-il, bientôt, de Français susceptibles d’assimiler la longue histoire de la conscience indisciplinée des tumultes paysans et ouvriers ? On sait que le néo-malthusianisme des besoins capitalistiques pour que la natalité baisse, a massivement industrialisé la chimie contraceptive et abortive. Tout cela est normal et correspond au déterminisme de la phase de domination complètement réalisée de la schizophrénie mégapolitaine de la valeur d’échange. Les Français font donc de moins en moins d’enfants susceptibles d’accéder à la langue de la critique radicale et ils les envoient faire des études pour simplement apprendre l’insolent conformisme de l’ignardise la plus perfectionnée.
Dans la domination supérieure de la productivité de la capitalisation qui s’est activée à partir des années 1970, le spectacle de la dictature démocratique de l’argent entend très systématiquement bannir le temps profondément historique de l’esprit révolutionnaire européen de 1848 qui fit le sel de mondialité prolétarienne qui extirpait énergiquement – à partir des labeurs obstinés de l’antique Logos grec en mouvement continu – toute la terre du sommeil des superstitions orientales qu’avait garanti la tutelle africaine et asiatique du despotisme étatique et para-étatique. Et maintenant on constate ce seul résultat concret de la présence de tant d’immigrés ; l’héritage de la France révolutionnaire de 1871 s’évanouit peu à peu et sûrement… Logique… Il s’efface parce que l’éco-système générationnel des héritages collectifs de culture factieuse et de langage puissant s’éclipse pour laisser libre cours à la seule économie narcissique de la pathologie marchande sans frein.
Les immigrés sont ainsi parfaitement chez eux dans la France de la réalisation complète de la fausse conscience contemporaine qui entend paralyser l’histoire jusqu’à en interdire toute issue révolutionnaire. Ils sont les représentants les plus représentatifs de l’enfermement immobile de l’homme dans la libre consommation du temps du marché. Et le monothéisme de l’argent est merveilleusement chez lui en France tant la falsification de la vie y est désormais, grâce à eux, forcément débordante.
Avec l’égalisation de la totalité de l’univers dans la misère existentielle du fétichisme de la marchandise et la précipitation du monde dans une explication purement mensongère de tout, les prolétaires de France qui ont poussé le plus loin – par-delà le torpillage syndical – le mouvement de la grève sauvage en 1968, sont devenus assurément épouvantablement inopportuns et la classe capitaliste qui ne se sentait plus chez elle à cause de cette obstination toujours renaissante, a décidé que les prolétaires en question ne devaient plus eux-mêmes se sentir chez eux et être dès lors déplacés historiquement ailleurs dans la confusion de mille bariolages devant faire disparaître l’esprit communard. C’est ainsi parce qu’il n’y a plus rien d’autre à faire – dans cet abominable monde américain de la raison marchande entièrement réalisée – qu’expulser le vieux prolétariat combattant de toute vie historique, que les immigrés aux cent visages sont devenus les marchandises-vedettes de l’idéologie dominante.
C’est en raison du fait que l’immigration contre-révolutionnaire est partout devenue permanence spectaculaire de toutes les prédilections médiatiques du spectacle capitaliste, que l’ouvrier parisien a dû – immuablement et toujours plus – migrer hors de sa propre histoire et ainsi de toutes ses géographies charnelles depuis les années 1970…
Il convient certes d’imaginer le plus catastrophique mais tout en luttant naturellement pour le plus préférable.
La dictature démocratique du spectacle de la valeur n’a plus aucun avenir puisque la crise finale du taux de profit est en train de l’abattre. Derrière le misérable film des pilleries et saccagements du lumpenprolétariat pleutre et protégé se profilent en concentré toutes les insupportables impostures de la société moderne telle que le mensonge étatique mondial du COVID en a pleinement révélé la mort… Le seul futur qui désormais existe et qui doit être précisé est le projet révolutionnaire de l’abolition de la marchandise, du salariat et de l’État. Le gauchisme de la marchandise – comme avant-garde des farces écologistes, immigrationnistes et LGBTistes de la classe capitaliste mondiale – est tout ce que peut être le pôle extrême du parti de l’ordre dans un moment qui devient révolutionnaire. Il est donc le grotesque porteur de valises de toutes les crapuleries de la banlieue sordide, de la came idolâtrée, des femmes séquestrées en passant par toutes les lâches agressions débridées.
Encore récemment les prolétaires Gilets jaunes de la périphérie déshéritée étaient massivement écharpés, éborgnés et amputés… Maintenant, les VRP de toutes les rentes banlieusardes des métropoles privilégiées du mondialisme, s’en donnent à fric joie dans des émeutes ultra-violentes de ravage intense…
L’Élysée et le ministre de l’Intérieur appellent à la retenue, la patience et la prudence même face aux tirs à balle réelle… Il ne faut pas brutaliser les enfants chéris de la capitalisation la plus déprédatrice…
Quant à Shaïna Hansye, assassinée enceinte et brûlée vive à 15 ans par Mohamed, après avoir été poignardée à multiples reprises au terme d’agressions sexuelles en réunion, il va de soi qu’elle ne pouvait avoir droit à une minute de silence à l’Assemblée nationale du boniment dominant puisque sa tragédie illustrait trop impeccablement la contradiction dialectique entre la vie riante de la femme des voluptés d’ici et celle morose des captivités féminines de là-bas…
S’il y a la farce des faux rebelles qui sont en fait de vrais contre-révolutionnaires, il existe néanmoins l’histoire du mouvement réel de la véridique guerre de classe qui va bientôt partout se répandre. Et la mystification de la marchandise totalitaire ne pourra faire face à l’ample agitation sociale qui se prépare que si elle parvient à la freiner, la saboter et la distraire pour la mener le plus loin possible de la critique radicale du salariat. Et pour ce faire, elle aura besoin de tous les ramassis rapineurs sortis des égouts débordants du capitalisme décadent qu’elle enrôlera dans de multiples bandes et cohortes qui – sous la supervision de médiateurs, délégués d’associations bidons, imams, zélateurs de tournantes, escrocs, larrons et dealers – iront défendre la résignation religieuse de l’argent éternel.
Les polices syndicales et politiques subventionnées vont tenter d’emmurer la lutte dans la lamentable revendication de l’esclavage éternellement mieux reproduit… La gauche du Capital agonisante va s’échiner, elle, à vouloir étouffer la colère prolétaire dans les voies sans issue de la pantomime des améliorations institutionnelles de la servitude. Puis, en fin de cohorte de piètre renouvellement capitaliste, les déchets analphabètes trotsko-libertaires vont tenter de nous expliquer – à la remorque des gangs tribalistes prébendiers – que brûler les poubelles, cramer les abribus, dévaliser les magasins, caillasser les pompiers et rouer de coups en troupe un flic de base isolé n’exprimerait pas le degré ultime de l’abêtissement marchand… Contre le spectacle de l’oseille démesurément arrosée et chapardée dans les banlieues de la diversité capitaliste tant chérie par l’excusisme gauchiste de la marchandise, les communistes disent simplement : À bas les soldes gratuits des territoires perdus de l’intelligence historique révolutionnaire ! Personne ne pourra nous interdire d’aller anéantir l’usine globale de la marchandise autocratique.
C’est contre toute cette merde de l’économie politique des mafias capitalistes du réformisme extrême que le prolétariat universel doit désormais imposer l’auto-organisation révolutionnaire de sa vérité en supprimant le marché de la fausse existence et donc à l’opposé de tous les commerçants contrôlés du blanchiment d’argent qui voudraient – en simple miroir inversé des rackets bancaires du capitalisme sénile et drogué – nous contraindre à l’auto-gestion passive des misérables échanges de la circulation aliénée…
La France d’aujourd’hui est bien loin des vitalités d’émotion, de perspicacité, d’ardeur et de joie de celle de 1848 ou 1871. Le territoire de sa géographie historique est dorénavant coupé en deux zones de temporalités complètement divergentes puisque sans aucun lien de coexistence affective, logique et syntaxique. Le projet du CNPF pompidolien s’est d’ores et déjà tout à fait finalisé dans celui du MEDEF de 2023. Afin d’éviter le recommencement tant abominé des occupations si inquiétantes de 1968, l’armée de réserve immigrée et ses alentours lumpen sont venus occuper l’espace d’après de telle sorte que le village oriental ennuyeux, éteint et démuni de toute force historique intentionnelle – si bien analysé par Marx – vienne se substituer au monde d’avant, des bistrots, du beaujolais, de la rillette, de l’accordéon, de la femme sensuelle et du journal ouvrier insurrectionnel… À ce titre, les hommes du combat communiste n’ont qu’un objectif ; tout faire pour briser le mur qui empêche les hommes des magasins de l’Orient contre-révolutionnaire enrégimentés par la finance mondialiste de quitter les demeures de l’emprisonnement dans les réseaux laïcs et religieux du monothéisme du marché des lumières marchandes.
Un spectre hante l’Europe : le spectre du communisme. Toutes les puissances de la pourriture capitaliste se sont unies en une Sainte-Alliance pour traquer ce spectre : Racailles d’en haut et racailles du bas… Les milices ouvrières révolutionnaires au moment du grand nettoyage les balaieront toutes…
L’histoire de la crise finale de la quantité marchande autocratique est en train de partout s’étendre… Que le spectacle de la déliquescence-argent succombe donc au plus vite en entraînant dans sa chute finale tous les gangs gouvernementalistes de la putréfaction mercantile !
Vive la Guerre de Classe mondiale du Prolétariat universel contre tous les Partis et Syndicats de la planète-marchandise et pour un monde sans exploitation ni aliénation !
VERS LA COMMUNE UNIVERSELLE POUR UN MONDE SANS ARGENT, SANS SALARIAT, NI ÉTAT !