CRITIQUE DE LA SOCIÉTÉ DE L’INDISTINCTION :

Commentaires sur le fétichisme marchand et la dictature démocratique de son spectacle…

L’INTERNATIONALE

Nouvelle édition avec un prologue de FRANCIS COUSIN
désormais disponible sur la boutique Guerre de Classe ainsi que sur le site Culture et Racine.

Retrouvez l’émission de Guerre de Classe ainsi que les précédents entretiens sur la Critique de la société de l’indistinction : lien vers l’article.

Extrait du prologue de Francis Cousin:

« L’histoire de la distinction a pris date, soyons sûrs que sa dialectique n’omettra personne, voilà ce que mettait en perspective la parution en 2007 de la Critique de la Société de l’indistinction. Sa réédition aujourd’hui, quatorze ans après, vient signifier et confirmer avec force – à la suite de Hegel, de Marx et des groupes maximalistes ouvriers – que notre vieille amie, notre Vieille Taupe qui sait si bien travailler sous terre pour faire apparaître brusquement le mouvement communard universel a correctement rempli sa mission car si souvent, il semble que l’esprit de distinction s’oublie, se perde, néanmoins en ses entrailles, il est toujours en opposition avec lui-même. Il est puissance véridique de son devenir intérieur. Et, il approche indéniablement en sa pleine arrivée d’envergure… »


DU SPECTACLE FÉTICHISTE DE LA MARCHANDISE MONDIALE ET DE SA CRISE FINALE…

Au-delà de la dictature démocratique de la valeur d’échange totalitaire…
Pour l’abolition de l’esclavage salarié et de toute domestication étatique !


SORTIE : DÉCEMBRE 2021.
A PRÉ-COMMANDER SUR LE SITE CULTURE ET RACINE.
Quelques exemplaires seront bientôt disponible sur le site GUERREDECLASSE.FR.

Au-delà de la dictature démocratique de la valeur d’échange totalitaire…
Pour l’abolition de l’esclavage salarié et de toute domestication étatique !

Notre époque est celle de la crise finale du spectacle fétichiste de la marchandise mondiale qui cesse de pouvoir produire sa propre reproduction et qui tente désespérément de faire diversion mensongère par la fabrication étatique d’un chaos terroriste, immigrationniste et sanitaire interminable, alimenté de mystification écologique ininterrompue… C’est ce vaste temps nouveau où le prolétariat, luttant d’abord en tant que classe contre les effets du Capital, va se remettre ensuite lui-même en question en portant le dépassement révolutionnaire de toutes les causalités de la capitalisation elle-même par la production ontologique du communisme en tant qu’abolition de toutes les classes et destruction de l’argent et de l’État comme immédiateté historique de l’humanité émancipée.

Dans cette époque surprenante se poseront deux questions effectivement cruciales. La première : comment être à la hauteur révolutionnaire d’une activité historique radicale ? La seconde : selon quelles modalités opérationnelles des humains pourront se regrouper pour assumer la situation résultant de la mort du monde du règne de la quantité. L’auteur y répond en rappelant simplement – dans la trajectoire historique du mouvement communard multiséculaire – que la qualité de l’Être en devenant le critère réel de la totalité de l’existence permettra, seule, à nos actes de nous mener le plus loin possible dans l’intelligence de l’émerveillement. 

Voilà plus de quarante ans que Francis Cousin, dans des cadres collectifs, anonymes ou personnels – s’est attaché à produire une critique radicale du spectacle de l’indistinction marchande autocratique. Il en dé-voile ainsi, une nouvelle fois la généalogie, le parcours et la destination en désignant la dialectique historique du temps long par laquelle a fini de se réaliser l’économie politique de la tyrannie démocratique de la valeur d’échange indifférenciée.